De nombreux salariés ont mis leur carrière entre parenthèse pour débuter une activité freelance, car le mode de vie indépendant attire de nombreux entrepreneurs.
Chacun a ses propres raisons de désirer acquérir ce statut : échapper à la hiérarchie, prendre le contrôle de son temps de travail, choisir ses missions, ses collaborateurs, bénéficier d’une plus grande souplesse, etc. En d’autres termes, beaucoup de personnes apprécient de n’avoir de compte à rendre à personne, hormis ses clients.
Malgré cette large autonomie au travail, des inconvénients persistent, tels que l’instabilité des revenus, la nécessité de multiplier les « casquettes » au quotidien, de souffrir de solitude ou de laisser peu à peu la frontière entre la vie personnelle et professionnelle s’estomper.
Qui peut devenir freelance ? Tout le monde, à condition d’avoir au moins 18 ans, de posséder la nationalité française (ou d’être membre d’un pays de l’UE). Il est possible d’exercer une activité commerciale, artisanale, agricole ou libérale en tant qu’indépendant. Vous souhaitez développer votre projet, et vous lancer dans l’aventure ?
Le terme freelance s’est largement répandu dans notre langage courant. Pourtant, de quoi s’agit-il vraiment ? En un mot : un travailleur indépendant. Il est possible de cumuler une activité freelance avec le statut d’étudiant, de salarié ou de retraité.
Pour créer votre entreprise, il est nécessaire de bien définir votre offre de vente de biens ou de services, auprès de vos clients. Aussi, il est nécessaire de réaliser une étude de marché et un business plan pour susciter l’adhésion de vos partenaires commerciaux et financiers.
Avant de partir à la recherche de financements, il convient également de vous interroger sur les aides publiques dont vous pourriez bénéficier. Parmi elles, l’ACRE propose une exonération partielle de cotisations sociales à hauteur de 50% les douze premiers mois d’activité.
L’ARCE vous permet de recevoir vos allocations chômage sous la forme de capital pour votre entreprise. Enfin, il est possible de solliciter le maintien des ARE jusqu’au terme de vos droits, pendant le lancement de votre nouveau projet. L’ensemble de ces dispositifs encouragent de nombreux entrepreneurs à franchir le pas.
Plusieurs statuts juridiques sont à votre disposition pour créer votre propre entreprise freelance :
Un freelance utilise ses compétences et son éventuel parcours professionnel antérieur comme premier argument pour convaincre ses prospects potentiels. Il doit tout d’abord se faire connaître, en créant un site internet, un blog ou des cartes de visite à la hauteur. Aussi, il est important de créer une présentation professionnelle succincte, à transmettre facilement à toute personne intéressée par vos services.
Diffusez vos coordonnées aussi largement que possible sur internet (annuaires en ligne, Google My Business, Pages Jaunes, etc.) et dans les commerces proches de votre domicile.
Enfin, un détail est trop souvent négligé dans la perspective de susciter la confiance de nombreux prospects : afficher une adresse de siège social valorisante. Pour ce faire, rien de mieux qu’une société de domiciliation ! La loi française permet aux entreprises de dissocier leur siège social et leur véritable lieu d’activité.
Ainsi, vous donnerez un coup de brillant à votre carte de visite et obtiendrez plus facilement la confiance de tous.
Faire appel à une société de domiciliation permet aussi d’alléger considérablement votre quotidien : secrétariat téléphonique, gestion quotidienne du courrier, formalités administratives, fiscales et juridiques, location de salles de réunion, etc.
Grâce à SeDomicilier, obtenez votre attestation de domiciliation en moins de 5 minutes, au cours d’un processus 100% en ligne. En plus, tous vos services sont ensuite disponibles dans un bureau virtuel personnalisé et sécurisé !
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